Aurore Ananké
Élève de septième année
 |  Sujet: Aurore Ananké { Tout n'est que fatalité}  Dim 12 Avr - 2:04 | |
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I. CARTE D'IDENTITÉ
Nom, prénom :ANANKE Aurore , mais son vrai prénom est Gabrielle.
Âge et date de naissance : Née le premier janvier 1993
Année d'étude :7ème année.
Nationalité : Anglaise.
Statut social :Pauvre. Il fut un temps où elle était riche, très riche…
Élément choisi : Le feu.
II. DESCRIPTION
Apparence physique : Aurore est une demoiselle différente de ces camarades ; son teint est pâle, terriblement pâle, et cela est dus aux heures qu’elle passait enfermés dans la bibliothèque de son manoir, lorsqu’elle vivait encore avec ses parents. Oui, une très belle bibliothèque où était rangé une multitude de grimoires, d’ouvrages anciens qui avait le don de captiver l’attention d’une petite fille de son âge. Ainsi elle laissa de coter ses poupées en porcelaine, ses ballons, ces jouets pour des livres. Des livres qui renfermaient bien plus de merveille qu’on pouvait en donner. Une peau douce, velouté qui semble absorber les rayons des astres du jour et de la nuit, mais froide, comme si le temps s’était figé, comme si le rouge ne lui était jamais monté jusqu’aux joues. Une peau qui lorsqu’est exposé trop longtemps au soleil commence à donner une impression de scintiller comme si sa peau était parcheminée d’une multitude de paillette, donnant un air de poupée à cette demoiselle. Une pâleur qui se contraste au rouge de ses fines lèvres qui dessinent en permanence sur son visage, un sourire doux, enjoué, coquin, envoûteur mais aussi malicieux. Un sourire toujours présent sur son visage qui semble serein, et pourtant une fois seule, lorsque la solitude lui ouvre ses portes, elle sombre doucement dans la mélancolie, la tristesse ; la solitude a été sa plus fidèle amie depuis son enfance. Lorsqu’elle sourit on peut voir une rangée de dent parfaitement bien aligné, droite et blanche malgré sa gourmandise. Elle possède un regard aussi bleu que le ciel, et profond que l’océan, et nul ne peut lire ce que cachent ses profondeurs. Un bleu qui peut devenir aussi dur que l’acier, un regard qui transpercera, et percera tout homme qui croise ce bleu hostile, qui peut devenir doux, et aussi paisible que l’eau des étangs. Un bleu impassible montrant son sang-froid face à toute situation, comme si elle n’avait jamais connu la sensation de la peur. Mais souvent, s’allume dans ce bleu des lueurs malicieuses, moqueuse, rieuses.
Son visage est encadrée d’une longue chevelure brune et abondante, qui tombe en cascade jusqu’au creux de son dos. Une chevelure si épaisse et sombre qu’elle nous donnerait l’envie d’y plonger notre main et de nous y noyer. Des cheveux qu’elle laisse détaché mais qu’elle attache lorsqu’elle combat, rarement elle ne coince dans cette chevelure ténébreuse le moindre objet ou accessoire décoratif. Des hanches fines sur de longues jambes, une taille étroite surmontée d’une poitrine généreuse. Une silhouette fine, élancée qui se mouvoie de façon gracieuse, dont chacun des gestes inspirent à la fois l’élégance et une certaine insolence. Un corps certes fin mais possédant une force impressionnante, une agilité, dextérité et souplesse sans égale, la guerrière est très rapide, et ses gestes sont fluides et d’une précision extrême.
Elle mesure un mètre soixante-quinze, ce qui fait qu’on la remarque facilement, il est rare d’avoir une demoiselle aussi grande. Son physique aussi bien que sa taille attire le regard des autres. Elle s’habille de façon correcte, banal, à vrai dire elle se fiche pas mal de son look et du regard des autres. Elle n’est pas le genre de personne à se maquiller, ou porter des bijoux à longueur de temps, pourtant elle possède autour de ses poignets des bracelets de grandes valeurs, son seul héritage de ses parents.
Caractère :
Lorsqu’on rencontre , ou croise Aurore pour la première fois, la première chose qu’on pense c’est qu’elle a beau être en face de vous mais elle semble tellement inaccessible. Cette impression qu’elle donne n’est pas faux, car elle semble être froide, arrogante, et surtout, elle semble appartenir à un univers complètement différent du vôtre. Enfin, cette impression disparaît lorsqu’elle remarque enfin votre présence écrasée par la sienne. Lorsqu’elle vous voit, elle aborde alors un magnifique sourire dont elle seule connaît la recette. ‘’Es-ce la même personne qu’il y’a deux secondes ?! ‘’ La réponse est évidemment ‘’oui, c’est bel et bien la même personne ‘’.
Aurore n’est pas une imbécile, elle a beau vous montrez de jolis sourires, mais ce n’est pas aux premiers venus qu’elle va confesser ses vrais sentiments tapis au fond d’elle. Elle est plutôt réservée, et préfère garder pour elle la véritable apparence de son âme, même si la personne est un ami proche, elle confessera difficilement ses véritables sentiments. Car faire part de ses états d’âme, c’est comme dévoiler une partie de soi, c’est aussi à ses yeux un signe de faiblesse, ainsi elle a pour politique de les garder pour elle, et de les oublier. Il est difficile d’être réellement proche d’Aurore, car il faudrait que cette impression d’intimité partagée soit réciproque ; il faut la comprendre, et surtout la supporter. Miss Ananké est mystérieuse, le fait que nul ne connaît son véritable visage, la rend tout simplement encore plus fascinante. Ce qui caractérise la jeune femme est son intelligence, une intelligence qui lui a permis de toujours trouver une solution peut importe la situation, elle trouve toujours une faille. Avant d’agir, elle analyse soigneusement la situation, et se prépare toujours mentalement à toutes sortes de scénario pour les contrer plus aisément. Tout est minutieusement calculer et préméditer, et cela va de même pour les imprévus. Elle n’agit jamais de façon irréfléchie, et fait preuve d’un sang-froid hors du commun. S’ajoute à cela, son incroyable capacité de mémoriser auditivement et visuellement, ainsi que ses sens très aiguisés. Rien ne lui échappe, le moindre de détaille est important. Ce n’est pas seulement son intelligence qui lui permet de sauver sa peau, mais aussi ses impressionnants reflexes.
C’est une femme avec qui il est plaisant de tenir une conversation. Elle est ouverte d’esprit, elle apprécie tout discussion portant aussi bien de domaine connu qu’inconnu, elle possède une soif de connaissance. Elle peut paraître froide, hostile mais la réalité est tout autre, certes elle est arrogante, un peu hautaine et confiante, mais c’est aussi une personne douce, gentille et compréhensive. Aurore ne montre pas ses larmes, mais elle en reste pas moins un être humain. Elle est sensible, et ne donne sa confiance qu’une seule fois. Sa gentillesse et sa prévenance font d’elle une personne agréable ; elle peut se montrer à l’écoute de toute personne qui veut lui ouvrir son cœur. Aurore a le don de savoir ce qui tracasse une personne rien qu’en le lisant dans les yeux, nul ne peut cacher les choses aussi bien qu’elle le fait. Pourquoi le regard ? Car il y a des choses que même les lèvres ne sauraient décrire. Elle ne juge personne selon ces apparences, car seul le cœur peut montrer la véritable apparence d’une personne. Ce n’est pas l’extérieur qui compte au final, mais l’intérieure (même avec ça, Rain ne peut s’en empêcher, l’homme de sa vie est pour elle un homme avant tout un homme beaux xD). C’est une perfectionniste acharnée sur sa tâche si l’on ne la stoppe pas assez vite. Elle peut passer des heures voire des jours à travailler sur quelque chose et le détruire juste parce que le résultat final, l’objet de son obsession ne lui plaît plus. Pour vous rassurez, cela arrive peu souvent, seulement lorsqu’elle est un peu surtension. Elle déteste être inactive, elle aime bouger, s’occuper, et lorsque ça arrive elle se met à déprimer…Elle n‘aime pas se mêler dans les affaires des autres mais elle ne supporte pas voir une personne souffrir à coter d’elle, ça lui rappelle des souvenirs…
Elle est optimiste à tout moment et cherche toujours le bon côté des choses ; mais elle n’en reste pas moins. C’est une personne joueuse, tenace et un vrai pot-colle –seulement avec Zedrial-, elle n’est jamais sérieuse et pourtant lorsqu’elle l’est, c’est une tout autre personne… On pourrait reprocher à cette jeune fille sa façon franche de dire les choses, en effet elle ne mâche pas ses mots quand on lui demande son avis, mais heureusement sait quand il faut dire les choses ou non. C’est une personne honnête, même si elle ment, c’est pour une bonne raison. Elle a la notion de la loyauté, de la fidélité. Aurore est une élève studieuse, elle aime apprendre, et connaître davantage de chose, en découvrir toujours plus, elle admire les humanistes, et souhaite en devenir une; l'idée de devenir un puit de connaissance l'attire, elle aimerait en devenir une ou plutôt prétendre à ce titre, car elle sait qu'elle ne pourra jamais être une Rabelais ou More. Sinon c’est une personne chaleureuse, et généreuse, on peut trouver en elle la grande-sœur idéale. Mais lorsqu’elle s’énerve, elle est méconnaissable, et perd trois notions importantes : La dignité, la compassion et la peur. Cet aspect très effrayant de sa personnalité est heureusement méconnu de tous .
Particularité(s) ://
III. BIOGRAPHIE
Enfance :
« Aurore, ma chérie… Tu vas devoir vivre seule, mais soit forte, ne baisse pas les bras, nous serons là, dans ton cœur, nous te protégerons… »
Voilà les dernières paroles que prononça ma mère avant de se jeter du haut de la falaise. Ô quelle était belle, sa robe qui virevoltait dans le vide lui donnait l’impression d’être un ange avec ces grandes ailes blanches, elle avait le visage serein, paisible. Ô comme elle était jolie, j‘aurai aimé la rejoindre mais mes jambes refusaient de bouger, je ne pouvais qu’attendre et la regarder, danser, une dernière fois. Voilà le souvenir auquel je me rattachais telle une désespérée, mais je mentais, je me mentais à moi-même. Car dans cette chute digne de l’échéance d’un ange, un rouge passionnée tâchait ses rêves, elle s’était jetée du haut de cette falaise par désespoir, c’était le cri ultime de son âme qui avait chut dans les abymes les plus noires.
Il y avait quelques jours, alors que nous rentrions ma mère et moi d’une course pour fêter l’anniversaire de mon père, nous retrouvâmes alors sur la table de la cuisine, une lettre. Une lettre parfumée d’amour qui révélait de bien triste nouvelle et vérité. Dans cette lettre, mon père raconta son enfance, mais aussi son mariage avec ma mère, ses moments de félicités, mon arrivée, mais aussi son infidélité. Ma mère a toujours été une femme fort belle et issue de bonne famille, mais malheureusement sa santé était fragile, d’où la raison pour laquelle nous avions déménagé de la belle Londres pour partir à la campagne, dans les lands, contrées imprégnées de légendes. Mon père avait une maîtresse, une et puis deux, deux et puis trois, il la trompait pour voir d’autre femme qui pourrait lui donner ce que ma mère Aurore ne pouvait pas. Ma mère lut la lettre silencieusement, les yeux remplis de larmes que j’essuyais en vain, des larmes aussi précieuses que l’or du monde, des larmes chargées d’amertume, de tristesse, de désespoir et de colère. Je n’étais qu’à l’époque une petite fille de sept ans qui ne comprenait pas les subites modifications qui s’opéraient dans son petit monde qui longtemps l’avait préservé de son innocence, mais surtout de la cruauté du monde extérieur.
A l’époque, avant d’aller à l’orphelinat d’Oxford, j’étais une petite pleurnicharde, fragile et instable, je pleurais tout le temps, sans cesse, jusqu’à que ma mère ou mon père apaise mes pleurs. La raison de ses larmes étaient enfantines, j’avais peur de la solitude, j’avais peur d’être seule confronté à moi-même, alors que je pouvais avoir tout de ce monde, j’étais un enfant de riche gâtée, capricieuse et égocentrique. Et cela je le compris vite lorsque je me retrouvais seule, confronté à moi-même dans ce monde cruel. J’avais beau être une enfant de riche, sans mes parents je n’étais rien, juste une orpheline dont la mère l’avait quitté en se suicidant et un père qui avait disparut comme par mystère de ce monde.
« Comment t’appelles-tu ? »
« Gabrielle Madame… Mais appellez moi Aurore.»
Ce fut Madame Pauline qui me sauva de mon désespoir, alors que j’étais assise dans la neige à contempler mon désespoir, elle fut la première de tout les passants à me tendre la main. Sans me demander qui j’étais, d’où je venais elle me recueillit chez elle, dans son manoir ou plutôt son orphelinat, qui donnait l’impression d’être un endroit chaleureux mais qui fut pour moi un véritable enfer. Je regrettais alors cette rencontre, car dehors j’étais libre, je vivais certes de rien, mais je survivais très bien.
Réception de la lettre :
« Vous m’avez appelle Madame ? » murmurai-je en fermant soigneusement la porte du bureau de Madame Pauline. Je pivotais sur mes talons et la regardait après mettre incliné face à elle.
« Oui… Une lettre vous est adressé »
« Il y a certainement une erreur Madame, je n’ai plus de famille… »
« Qui sait, prenez-là et partez. »
« Merci. »
Je la saluais avant de quitter la pièce chauffée pour rejoindre les couloirs gelés de l’orphelinat. Je mis soigneusement dans mon tablier la lettre que j’avais reçu avant de faire mes corvées, ou plutôt mes cours. Car de tout les enfants j’étais la plus cultivée, ainsi j’avais pour rôle d’enseigner au plus petit l’écriture et la lecture. Au fil des temps, j’avais oublié les bienfaits de la richesse, le sentiment d’avoir tout, car à présent j’étais pauvre, je n’avais rien. J’avais un héritage qui me sera accordé seulement lorsque j’attendrais ma maturité, pas avant. Le soir, avant de me coucher dans le dortoir, je sortis la lettre et la regarda pendant de longues minutes ; jamais je n’avais reçu de lettre, et la seule lettre fut celle que ma mère reçut. J’avais peur, peu de savoir ce qu’il pouvait se cacher dans cette lettre. Qu’était-ce ? Je ne savais rien, une partie de moi m’incitait à l’ouvrir et une autres, attachées à mon passé me disait de la jeter.
Le lendemain, je fis mes valises, et quitta avant l’arrivée de l’aurore l’orphelinat.
Famille :
Fille unique, elle était choyée par ses deux parents, qui la laissèrent très vite seule. Elle avait aimée sa mère, c’était son modèle de la femme parfaite. Lorsqu’elle se suicida, la jeune fillette prit le nom de sa mère en mémoire de cette dernière. Elle avait aussi aimé son père, mais à rpésent lorsqu’elle pense à ce dernier c’est avec dégoût et haine.
IV. DERRIÈRE L'ÉCRAN
Prénom : Mo-chan suffira ^^
Pays : France.
Comment avez-vous connu le forum ? Faut dire que j’ai connu Shiyousou et Sirus donc :3
Qu'en pensez-vous ? Bien ~
Quel est votre repas préféré ?Ma foi, le gras de canard (Beuurk…)
Dernière édition par Aurore Ananké le Dim 12 Avr - 17:31, édité 2 fois | |
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